Cet article a pour but de vous aider à éviter les 12 erreurs en publicité Facebook les plus graves. Ces dernières sont celles dont j’ai le plus été coupable OU celles que j’ai le plus vu chez des clients chez lesquels j’arrivais après quelqu’un d’autre pour… nettoyer ! Aïe, aïe, aïe …
Je vais être honnête, j’en ai fait, des erreurs avec la publicité Facebook.
Pas qu’un peu. Et devinez quoi ? Faire ces erreurs peut vous coûter (beaucoup ?)
d’argent…
Alors installez-vous et écoutez attentivement si vous voulez faire de la publicité Facebook efficace, et en faire baisser le prix!
Vous vouliez plutôt lire comment tout casser avec la publicité ? Vous n’êtes pas du genre inquiet ? Suivez ce lien pour lire l’article qui vous décrit toute la procédure pas à pas !
Sinon, c’est parti !
Table des Matières
2) Vos audiences jouent un rôle charnière
4) Comment est votre blanquette Lead Magnet ?
6) Vous ne faites pas partie de la “Thank You Economy”
7) Si vous n’avez pas testé vos audiences et vos visuels…
8) Vous n’avez pas testé vos titres non plus ??
9) KPIs : regardez où vous mettez les pieds
10) Vos publicités Facebook manquent-elles d’audace
11) L’erreur liée à la séduction …
Première des 12 erreurs en publicité Facebook : vous avez oublié votre client
1) Pas de customer avatar
La première chose que l’on a tendance à oublier, c’est que l’on vend à des gens. En se concentrant trop sur notre propre produit ou service, on en vient à oublier l’essentiel : l’acheteur. C’est ainsi que l’on passe à côté d’étapes absolument cruciales comme le fait de créer un persona précis.
Le persona a plusieurs fonctions, notamment celle de vous aider, le moment venu à trouver les bons mots. Vous saurez mieux formuler votre message, et ainsi, vous pourrez faire baisser le prix de vos publicités. Car si les gens cliquent plus facilement, le clic coûte moins cher. Et si votre message percute, le passage d’une page à l’autre de votre tunnel de vente se fera aussi pour moins d’argent. Il n’y a que comme cela qu’on fait de la publicité Facebook “pas cher”. En effet, c’est en la faisant correctement, étape par étape.
Notez au passage que si vos publicités ne plaisent pas aux gens, il y a de fortes chances
pour qu’elles ne plaisent pas non plus à Facebook. Si vous n’évitez pas cette erreur, attendez vous à lire le message “publicité facebook non approuvée”. Lorsque ce sera le cas, dites bonjour au temps perdu, et aux problèmes sans fond !
2) Vos audiences jouent un rôle charnière
Cependant, votre
Customer avatar ne va pas simplement vous aider à formuler vos titre ou vos
textes. Loin de là. Votre persona va aussi vous permettre de créer des
audiences aussi précises que possibles.
Je me rappelle d’un moment qui m’a rendu humble, un an en arrière. Je gérais
des publicités Facebook pour un client (agence de voyage), et mon ROAS (Return
On Ad Spend) ne dépassait pas la barre des 2,5, malgré tous mes efforts. Vous
imaginez le stress : je dépensais son argent pour tester des éléments
différents dans l’espoir d’améliorer le retour, en vain. Je décidai de prendre
un peu de recul, quand mon client m’a demandé de baisser l’âge maximal de 15
ans. Au lieu d’avoir une tranche d’âge entre 20 et 50, je la réduisai entre 20
et 35. Et là, miracle : il n’a fallu que quelques jours pour dépasser la barre
des 4 en ROAS (retour sur ivestissement) !
Je me suis demande plus tard la raison de mon erreur. Elle était simple, en réalité. C’était que le customer avatar n’était pas suffisamment proche de la réalité. Pour pallier le problème, j’aurais dû mieux “enquêter” sur la clientèle cible.
3) Pixel et retargeting
Vous vous souvenez du titre de cette première partie ? Je vous disais que vous “oubliiez” votre client. C’est souvent littéralement vrai : si vous n’avez pas de Pixel Facebook sur votre site, figurez-vous que cela revient à voir un client entrer dans votre boutique sans lui adresser la parole. D’ailleurs, ce n’est pas une façon de parler : installez maintenant vote pixel. Ce pixel est un morceau de code HTML qui va vous permettre de tracer vos visiteur, comme un mouchard. Internet est un espace numérique, et il faut adapter sa communication au digital. Les visiteurs de votre site (boutique, mais en ligne) ne peuvent pas se manifester physiquement, ce qui vous empêche de les aborder. Le pixel Facebook pallie ce problème et vous permet d’entrer en contact avec eux après leur visite. Sans cela, vos publicité facebook vous coûteront beaucoup plus cher. De plus, l’argent laissé sur la table me fait monter les larmes aux yeux.
Dans le même ordre d’idée, il est absolument primordial de faire en sorte de vous souvenir de votre client. Mieux, il faut qu’il réalise que vous vous souvenez de lui. D’où l’importance de lier vos publicités Facebook à des campagnes d’emailing. Cela vous permet de démultiplier davantage les points de contacts.
Deuxième famille d’erreurs avec Facebook Ads : votre tunnel de vente est nul
A quel point pensez-vous qu’il est probable que vous achetiez un produit directement après avoir cliqué sur une pub Facebook ? Plutôt improbable hein ? Et bien, c’est pareil pour les visiteurs de votre site !
Quand on me demande « comment faire de la pub sur facebook », je réponds : “commencez par faire un site correct, ou mieux, un tunnel de vente ! Abordons les 3 prochaines sur le total promis de 12 erreurs en publicité Facebook …
4) Comment est votre blanquette Lead Magnet ?
Le premier problème (gros comme un char, pour citer les classiques) concerne le Lead Magnet. Ou plutôt, il concerne l’absence de Lead Magnet. Si encore il n’était pas de très haute qualité, ou attractif. Mais bien souvent, il est juste absent. Vous vous imaginez, aller à la pêche sans cannes et sans appâts ? Sans Lead Magnet, je vois certains de mes clients comme ça. C’est exactement comme s’ils allaient directement dans la rivière, à gros pas d’éléphants, essayant d’attraper les poissons avec une pôele pour les y faire frire dans la foulée…
Il vous faut absolument un Lead Magnet attractif. Il agit en tant qu’appât. Comment construire un Lead Magnet qui convertit ? Commencez par vous poser les bonnes questions. Parmi elles : que puis-je offrir à mon prospect pour lui faciliter la vie (cohérent avec mon service) ? Que puis-je lui offrir rapidement pour lui éviter le problème que mon service résout ?
Faites cela, et votre prospect cherchera à vous donner ses informations de contact. Là, vous pourrez commencer à instaurer une relation de confiance. À ce moment là, les chances pour qu’il achète chez vous sont décuplées.
5) De l’importance des emails
Malheureusement, ceux de mes clients qui n’ont pas de Lead Magnet n’ont que très rarement de système d’e-mailing suivant les clients. Comme nous l’avons abordé plus haut, il est crucial de multiplier les points de contact. Cela permet de s’assurer d’en avoir un maximum, le plus rapidement possible. Des études montrent qu’il faut 5 à 7 points de contact avant de pouvoir espérer une conversion en ligne. Évidemment, c’est une moyenne. Mais l’e-mailing permet d’augmenter le nombre de points de contacts entre vous et vos prospects. Qui dit plus de points de contacts, dit plus de ventes. Neil Patel, véritable gourou du SEO (Search Engine Optimization) et du marketing digital, affirme que le mailing représente l’essentiel de son chiffre. Alors, qu’attendez-vous pour assurer sur cet aspect de votre tunnel de vente ?
Sixième sur les 12 erreurs en publicité Facebook : vous ne faites pas partie de la “Thank You Economy”
Gary Vaynerchuk est un véritable phénomène. Il a lui-même souligné l’incroyable importance de la publicité Facebook et Instagram. Selon lui, elles sont les moins chères, et pouvent générer le ROI (retour sur investissement) le plus intéressant du marché.
C’est ce même visionnaire qui parle de “Thank You Economy”. Il a aussi mentionné cette notion dans son livre “Jab, Jab, Jab, Right Hook’, dans lequel il mentionne la nécessité de donner.
Votre tunnel de vente doit être une série de cadeaux et de don de soi. Pour un millier de raison que l’on aborde dans un autre article. Il faut absolument que votre offre dépasse celle du lead Magnet classique.
Créez du contenu. Donnez les informations intéressantes gratuitement. Conseillez vos prospects par email. Donnez -leur de quoi réflechir. Ils doivent vraiment se dire : “Wow, ça, ça va dans mes favoris direct !”. Placez-vous dans cette optique pour gagner à tous les niveaux du numérique. En effet, ces principes sont aussi bien valables dans la publicité payante sur Facebook que sur le trafic organique…
Savez-vous analyser vos publicités et tester ce qui doit l’être ?
Développons maintenant une troisième catégorie d’erreur très courante dans la publicité Facebook, . Pour ce faire, soulignons la nécessité de tester vos publictés, et de les analyser correctement.
Car oui, une fois qu’elles sont toutes jolies et lancées, l’aventure ne fait que commencer. En effet, c’est à ce moment-là qu’il faut mettre les gants, retrousser ses manches et enfiler sa blouse de scientifique.
7) Si vous n’avez pas testé vos audiences et vos visuels…
Voici l’une des 12 erreurs de la publicité Facebook dont j’ai le plus été coupable à mes débuts… C’était de laisser couler. Je lançais mes publicités, et j’attendais en priant pour convertir, et faire des ventes. C’est là une autre des erreurs vraiment classiques : il faut tester. Vous avez entendu parler de ce qu’on appelle “the curse of knowledge” ? Cela revient à croire que les gens savent ce que vous savez, qu’ils croient ce que vous croyez. Dans la publicité Facebook, nous pensons souvent (au début) savoir ce qui va marcher.
S’il y a un domaine où il ne faut pas se fier à son intuition, c’est la publicité en ligne. À part si cette intuition vous dit de ne pas vous y fier !
Non, le mieux est toujours de tester. Pour ce faire, commencez par tester vos visuels et vos audience. j’ai pour habitude de tester les deux en même temps, au lancement de mes campagne.
L’avantage de débuter en testant à la fois vos audiences et vos visuels est de gagner du temps. Pourquoi pouvez-vous vous permettre de faire cela ? Parce que l’objectif est de déterminer quelle catégorie de visuels marche le mieux, indépendamment de l’audience. Ainsi, assurez-vous de tester des visuels différents par nature (portait ou paysage…). De même, testez au moins 5 audiences d’intérêts entre elles, 3 audiences similaires entre elles, ainsi que différentes audiences personnalisées.
8) Vous n’avez pas testé vos titres non plus ??
Toujours dans cette optique de test, gardez à l’esprit de tester vos titres. Ensuite, il faudra tester vos textes. Ici, il s’agit de tester dans un premier temps vos titres et textes sur votre publicité Facebook elle-même. Passé un point, où vous serez satisfaits des résultats, faites-en sorte de les tester sur votre Landing Page (page d’atterrissage), puis la page de remerciement, et ainsi de suite…
Je rédige régulièrement des séries de titres et de textes. Un de mes clients dans l’automobile a fait l’expérience directe de l’absolue nécessité de tester. En effet, il a suffit de modifier quelques mots dans le titre de la publicité pour passer d’un CPC (coût par clic) de 90 centimes à un CPC de 16 centimes.
Les petits détails ont le pouvoir de faire une ÉNORME différence. De fait, si votre CPC diminue de 70%, vos coût vont aussi drastiquement réduire à chaque étape du tunnel. Cela veut dire que votre coût par acquisition sera plus faible, et que votre ROAS augmentera. Alors : testez, testez, et testez encore !!!
9) KPIs : regardez où vous mettez les pieds
Le problème avec le test, c’est qu’il faut avoir un point de référence tiers. Même s’il est bien de tester deux variables entre elles, cela ne suffit pas. J’ai beau comparer deux coûts par clic, et déterminer que l’un est plus grand que l’autre, cela ne m’avance pas à grand chose. Ce qu’il faut absolument, et qu’une minorité de gens font avec la publicité Facebook, c’est calculer ses KPIs. Les KPIs sont vos Key Performance Indicators. Cela tombe bien, c’est exactement ce qu’on voulait, des indicateurs !
Sans indicateurs, vous êtes perdus en forêt, la nuit, sans boussole ni lumière. Je crois que le problème va de soi dans ce scénario.
Pour calculer vos indicateurs, deux options s’offrent à vous.
Soit vous avez déjà des données, par exemple accessibles grâce à Google Analytics, soit vous n’en avez pas. Si vous en avez, c’est super. Sinon, il existe un moyen de les calculer.
Mais d’abord, déterminons que sont vos KPIs. Ils correspondent au prix que vous êtes prêt à payer pour accompagner vos prospects le long de votre tunnel de vente en restant profitable. C’est là clé pour ne pas perdre d’argent, et faire la publicité Facebook la moins chère possible.
Quatrième famille d’erreurs avec la publicité Facebook : les problèmes liés à la forme
10) Vos publicités Facebook manquent-elles d’audace
John Carlton est un puits sans fond d’inspiration pour moi. Sa méthodologie de copywriting est simple, efficace et percutante. Oui, particulièrement percutante. En effet, l’élément qui m’a le plus marqué dans ce qu’il enseigne en rédaction est l’audace.
Il encourage à “choquer” les gens. Ce conseil est donné avec la certitude que le seuil de tolérance à créer du contenu choquant est très bas chez la plupart des gens. Ainsi, même en invitant à l’être, il sait pertinemment que ses élèves garderont un ton qu’il considérera comme édulcoré.
L’art de la rédaction d’accroches et de titres qui appâtent les internautes réside dans un doux équilibre entre le générique et le clickbait.
Si vous êtes coupable de
cette erreur comme je l’ai été tant de fois (et le suis encore), il existe des
solutions.
Déjà, formez-vous à rédiger des titres et des textes qui convertissent. Si vous
voulez un petit conseil à appliquer rapidement ici, pensez à ajouter des power
words. Ce sont des mots “magiques”. Ce terme fait référence à tout adjectif
pouvant déclencher une réaction viscérale chez votre lecteur. À titre d’exemple
: incroyable, secret, choquant, mortel, rapide, ultra, …
Osez utiliser des mots puissants dans votre message, et voyez la différence ! Rappelez-vous que si vous continuez dans cette erreur, vous garderez les gens endormis. Réveillez-les !
11/12 erreurs en publicité Facebook : soyez plus séduisants …
Et de même qu’il faut réveiller les gens lorsque vous rédigez vos titres, vos sous-titres et vos textes, apprenez à séduire ! Robert Cialdini, dans son livre “Influence et Manipulation” (1984), fait référence à 6 principes d’influence :
- Autorité : les être humains suivront l’exemple de figures d’autorité, alors présentez-vous comme un expert dans votre domaine !
- Appréciation : les gens achètent à ceux qu’ils apprécient. Pour vous faire apprécier, faites-en sorte de vous associer à des éléments déjà appréciés de votre audience !
- Social Proof : nous autres humains regardont ce que nos semblables font lorsque l’on ne sait pas quoi choisir. Mettez en avant ceux qui ont apprécié vos services. Montrez que d’autres personnes vous ont fait confiance !
- Rareté (urgence) : les être humains associent plus de valeur aux choses rares. Ainsi, vous devriez vous efforcer d’ajouter un sentiment d’urgence à vos offres (limité dans le temps, en places, etc…)
- Régularité : nous agissons toujours de façon à confirmer des paradigmes que nous percevons comme vrais. Renforcez les paradigmes qui vous intéressent dans l’esprit de vos prospects, puis incitez-les à l’action.
- Réciprocité : nous donnons à ce qui nous donnent. Dans la même logique que celle du Lead Magnet, assurez-vous de toujours donner en premier, et en quantité ! C’est à celui qui investit le plus dans la satisfaction de ces prospects pour gagner leur confiance…
Pensez à saupoudrer votre message de ces principes, dans votre publicité Facebook, votre Landing Page, etc… Tout votre tunnel de vente devrait avoir ces 6 principes pour fondations !
12) La der des 12 erreurs en publicité Facebook : vous manquez d’expertise
Et oui, comment lister les 12 erreurs de la publicité Facebook sans aborder celle du manque d’expertise ? Le manque d’expertise est un tueur en séries de publicités Facebook. Paradoxalement, c’est aussi l’erreur que nous traversons tous (sans la moindre exception !).
Heureusement, il y a des solutions à cela, qui varient selon votre cas.
Dans le premier cas, vous n’avez pas d’argent, mais vous avez beaucoup de temps à votre disposition. Si c’est votre cas, commencez par lire cet article (il contient les bases pour lancer votre première campagne). Puis parcourez ce blog. Contactez-moi avec vos questions, et j’y répondrai, dans la mesure où la réponse ne se trouve pas dans ce blog. Mon but, à la fin, serait d’avoir un blog qui répond à toutes les questions les plus courantes sur le sujet.
Dans le deuxième cas, vous avez de l’argent, et vous n’avez pas de temps à consacrer à la publicité Facebook. Si c’est votre cas, je vous invite à prendre contact avec moi dès maintenant pour un audit (je vous l’offre, c’est mon plaisir! Suivez ce lien !). Ce sera l’occasion de faire connaissance, d’étudier votre entreprise et vos objectifs pour cette année, et d’établir une stratégie d’attaque. C’est sans engagement, et nous ne travaillerons ensemble que dans la mesure où cela va de soi, et que toutes les parties en profitent.
Enfin, vous avez un peu de temps, et un peu d’argent : formez-vous. J’ai créé une formation qui contient absolument tout ce dont vous avez besoin pour lancer votre première campagne Facebook profitable. Je vous assure qu’en suivant mon enseignement, vous aurez des résultats. Si elle n’est pas encore accessible, je vous invite à me contacter et je vous y donnerai accès pour un mois d’abonnement Netflix.
Conclusion sur les 12 erreurs de la publicité Facebook
Félicitations si vous êtes arrivés au bout de cet article. J’espère qu’il était lisible, et que vous y avez appris un maximum de choses. Quoiqu’il en soit, vous avez maintenant une liste exhaustive des plus grosses erreurs que je vois dans mon travail. C’est à vous qu’il revient d’éviter chacune de ces 12 erreurs qui tuent vos publicités Facebook !
A très bientôt !
Votre fidèle Webmarketeur,
Joshua